1. Guy de la Roche sgr de Montendre, a 1441 aut antea, ad 1459 aut brevi postea : — A. usque ad 1445, comite Johanne apud Anglos vincto : « Guy de la Roche, conseiller et chambellan du duc d'Orleans, ayant la garde du conte d'Angoul. et son seneschal en Engolmois, » P. 1405*1 322, 3 aug. 1441 ; 12 jun. 1443, Bab. de Rencogne, Bullet. Soc. arch. Charente, 1868-9, p. 662-3; 15jan. 1443-4, P. 1405, I, 348. — B. Post receptam comitis libertatem, « Guy de la Roche conseiller... de mgr le conte d'Engol. et son senechal en Ang. », 20 mart. 1446-7, P. 1406*1, vj*c 1*10 ; 30 mart. 1446-7, P.1404*1 167 bis ; 8 jun. 1449, B. nat., N. acq. fr., 3642, Coll. Bastard, 825 ; 1 mart. 1451-2, Add. Chart. 4071, British Museum ; « chevalier », 19 mai. 1455, B. nat., fr. 26083, n° 6841 ; 3 febr. 1456-7, P. 1403*2, CXVIJ ; « chevalier, sgr de Verteuil et de Montandre », Arch. Charente, fonds S. Ausone, 13e liasse, Fleac ; forsan decesserat ante 1 jan. 1462-3 : « Mad. de la Roche, [vidua, ut vi
Les facteurs hollandais Ainsi, au début du XVIIe siècle, la Hollande importe du papier d’écriture et d’imprimerie de l’Allemagne, de la France, de la Suisse et de Gênes. La principale raison s’explique par l’impossibilité de trouver dans ce pays du papier fin manufacturé. Les centres de distribution privilégiés pour la Hollande sont Anvers et Cologne. Cependant, comme les prix deviennent excessifs, des intermédiaires hollandais ou facteurs (factors) viennent en France, s’installent à demeure, particulièrement en Angoumois, ouvrent des entrepôts et commandent du papier pour le marché hollandais. Ce qui est remarquable, c’est qu’au début de ces activités papetières, le papier porte des marques françaises, mais dès les années 1630, les papiers faits spécifiquement pour ce marché commencent à porter des marques hollandaises, avec des contremarques françaises. Par exemple, vers 1635 et à la demande des Hollandais, la marque aux Armes d’Amsterdam fait son arrivée et elle semble n’apparaîtr